Problématique
:
Entre le visiteur qui accepte, ou désire, rester derrière un écran et faire une visite virtuelle et celui qui ne veut que voir de ses yeux et toucher de ses doigts en traversant des salles réelles, il n'y a pas que le stéréotype de l'opposition modernité-tradition, il y a aussi bien des attitudes temporaires que l'on peut trouver chez un même individu à différents moments ou en différentes situations, que des dispositions préférentielles de certaines catégories d'acteurs (publics, professionnels) selon leur implication par rapport à l'objet de leur visite.
Les Musées en jouent selon les publics qu'ils visent et l'image qu'ils veulent donner d'eux-mêmes dans le cadre d'une compétition culturelle et commerciale.
But
du travail :
Faire l'inventaire des NTIC applicables: catalogues et portails sur le web, bornes interactives, grands écrans, signalétique, documentation multimedia, livre électronique téléchargeable, etc..
En reconnaître les fonctions et usages possibles: guidage à distance, à proximité ou sur place, interaction et adaptation entre visiteurs et musées, présentation par aperçu, substitut, objet virtuel ou réel, achat de copies, création et animation de communautés d'experts, d'amateurs, etc..
Comparer, sur des exemples choisis d'expositions permanentes ou temporaires, différents choix faits par les concepteurs et en faire la critique.
Conseils
:
Choisir un ou deux domaines de muséographie: sciences de la vie, de l'homme, techniques et industrie, arts classiques ou modernes, etc.. et vous y limiter.Contacter les différents acteurs :
ainsi que des chercheurs en Sciences de l'Homme et de la Société.
- représentants de différents publics (occasionnels, abonnés, experts...)
- directeurs, conservateurs, concepteurs d'expositions, muséographes, documentalistes...
- développeurs, démonstrateurs d'outils
Sites
à visiter et éléments bibliographiques
Encadrants
: